mardi 24 juin 2014





J - 1



L' EQUATEUR un ADVERSAIRE 
à ne pas SOUS -ESTIMER


Numéro / Nom
Équipe actuelle
Date de naissance
J.
Buts
Gardiens de but
1 Máximo Banguera Barcelona SC
16.12.1985




22 Alexander Domínguez LDU Quito
05.06.1987




12 Adrián Bone El Nacional
08.09.1988




Défenseurs
10 Walter Ayoví Pachuca
11.08.1979




2 Jorge Guagua Emelec
28.09.1981




4 Juan Carlos Paredes Barcelona SC
08.07.1987




3 Frickson Erazo Flamengo
05.05.1988




21 Gabriel Achilier Emelec
24.03.1985




18 Óscar Bagüí Emelec
10.12.1982




Milieux de terrain
8 Édison Méndez Santa Fe
16.03.1979




14 Oswaldo Minda CD Chivas USA
26.07.1983




16 Antonio Valencia Manchester United
04.08.1985




19 Luis Saritama Barcelona SC
20.10.1983




6 Christian Noboa Dynamo Moscou
09.04.1985




5 Renato Ibarra Vitesse
20.01.1991




20 Fidel Martínez Tijuana
15.02.1990




23 Carlos Gruezo VfB Stuttgart
19.04.1995




Attaquants
11 Felipe Caicedo Al-Jazira
05.09.1988




17 Jaime Ayoví Club Tijuana
21.02.1988




9 Joao Rojas Cruz Azul
14.06.1989




7 Jefferson Montero Morelia
01.09.1989




13 Enner Valencia Pachuca
11.04.1989




15 Michael Arroyo CF Atlante
23.04.1987




Sélectionneur


Reinaldo Rueda

16.04.1957


Un MATCH à NE PAS PERDRE


Pour conserver la bonne dynamique de l' Equipe

«Le socle, c’est les résultats.»(Deschamps). Même si l’objectif prioritaire des Bleus reste la qualification en 1/8 de finale, une contre-performance serait malvenue à ce moment de la Compétition ! «On a envie de rester sur une bonne dynamique... Ça peut nous servir à bien préparer les évènements.»(Debuchy).



Pour éviter l'Argentine et Messi
Les Bleus connaîtront déjà les résultats de la poule F et l’identité de leur adversaire en 1/8 de finale en fonction de leur place dans le Groupe. «On verra bien ce qui se passera...Si le classement reste en l’état, les Bleus éviteront l’Argentine de Lionel Messi. D’où l’importance de ne pas reculer d’un rang...Si on peut ne pas les jouer maintenant, c’est mieux... On suivra ça avec attention.» ( Valbuena). Mais de toutes les facons, pour être Champion du Monde, il faudra battre tout le Monde: «On sait que l’Argentine a une très belle équipe mais on ne va pas choisir notre adversaire. On prendra qui viendra. Si on garde le même état d’esprit, on pourra battre notre adversaire.»( Sissoko)



Pour conserver la motivation de tout le Groupe

Pour cela, Deschamps va devoir faire tourner l' effectif. Hormis "l' évident ménagement" des joueurs avertis, la composition de l' équipe ne sera pas facile car le résultat peut éventuellement intervenir sur le Classement du Groupe ! Une extrême prudence s' impose en 1 ère mi-temps et si le score évoluait favorablement, tout serait envisageable en 2 ème période...«On est dans une Coupe du monde. Forcément, ceux qui n’ont pas encore joué ont envie...Il y a une grosse attente de tout le monde sur un match comme ça» (Valbuena).




FLASH 

SUR LE "POUMON de l' EQUIPE" 

BLAISE MATUIDI




Article de l'EQUIPE
«C’est un joueur moderne, “box to box”comme disent les Anglais. Je le chambrais en disant qu’il avait une frappe de “zéro à zéro”… Mais il m’a fait mentir en marquant des buts», s’amuse le sélectionneur pour mettre en exergue sa progression fulgurante au niveau technique. Indispensable dans l’équilibre du jeu du PSG, Matuidi justifie sa forme actuelle par l’environnement hautement compétitif dans lequel il évolue au quotidien. «Le fait de côtoyer chaque jour de grands joueurs au Paris - Saint-Germain explique ma progression. Je vais essayer de continuer à franchir les paliers tout en conservant mes valeurs. Je ne me fixe aucune limite», a-t-il expliqué lors de son passage devant la presse au Théâtre Pedro II de Ribeirao Preto.
Homme de base du système Deschamps par son attitude à compenser par son placement et sa volonté les prises de risque offensives de ses partenaires, Matuidi brille par sa faculté à être la cheville ouvrière du schéma tactique français. Une lourde responsabilité qu’il assume avec ses deux coéquipiers du milieu - Cabaye, Pogba ou Sissoko- sans avoir l’impression de se sacrifier. «Il y a une bonne ambiance, chacun veut aider le copain. Nos attaquants ont une pleine liberté de mouvements. On se doit de les mettre dans les meilleures conditions. Mais eux aussi le font pour nous, ils se mettent par terre pour l’équipe. Pour preuve, les milieux aussi ont marqué», avait-il détaillé à l’issue de la victoire contre la Suisse. Les propos d’un joueur exemplaire qui ne court pas comme un dératé pour tirer la couverture à lui mais uniquement pour gagner. Matuidi est avant tout un battant.
Au point d’ébahir par ses performances titanesques Didier Deschamps, qui sait pourtant de quoi il parle quand il s’agit de souligner la générosité de son infatigable milieu récupérateur. «Après le match contre la Suisse, il est rentré en courant, il n’a pas voulu prendre l’avion, il court encore là, a lancé le sélectionneur en plaisantant afin de mettre en relief les prestations de ce gaucher également à l’aise balle au pied. C’est bien qu’il ait pu souffler en fin de saison avec le PSG. Il a fait une bonne préparation et il a des aptitudes athlétiques. Il est aussi en confiance. Mais dans le volume et dans l’agressivité, il est vraiment incroyable. Du banc de touche, j’ai même parfois du mal à le suivre.»

Colossal à l’impact, intraitable dans les duels, perforant par son gros volume de course et précis dans ses passes, Blaise Matuidi sait à peu près tout faire. Même marquer comme en atteste son efficacité actuelle devant le but adverse. En signant la deuxième réalisation des Bleus dans la minute suivant l’ouverture du score de Giroud - son quatrième but en sélection, Matuidi a tué dans l’œuf toutes velléités de retour de la part de la Suisse. Sa réussite actuelle valide en soi les options tactiques de Didier Deschamps poussant les milieux à venir épauler les attaquants afin de faire mal aux adversaires sur les phases de récupération.

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